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GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870

2 participants

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GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Empty GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870

Message  Eric27 Lun 14 Oct 2019 - 23:14

LE SECOND EMPIRE (03/12/1852 - 04/09/1870

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Napole10

Napoléon III En 1853, la gendarmerie de France se compose :

- de 26 légions pour le service des départements et de l'Algérie,
- de la gendarmerie coloniale composée de quatre compagnies pour la Martinique, la Guadeloupe, l'île de la Réunion et la Guyane française,
- un poste de trois brigades aux îles Saint Pierre et Miquelon, de deux bataillons de gendarmerie d'élite,
- de la garde de Paris chargée du service spécial de la ville de Paris,
- de deux compagnies de gendarmes vétérans.

Gendarmerie impériale (1852 - 1857)

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Gendar19


Par lettre ministérielle du 1er février 1853, le maréchal de France De Saint-Arnaud, ministre secrétaire d'État de la Guerre, crée un service médical pour la gendarmerie. Dans chacune des places de garnison où se trouvent des médecins militaires, l'un d'eux ou plusieurs s'il y a opportunité sont désignés par le général commandant la division pour donner gratuitement et à domicile les soins médicaux nécessaires non seulement aux gendarmes employés dans ladite place, mais encore à leur famille.


C'est par touches successives que l'uniforme de la gendarmerie sera modifié au début du Second Empire. Il faudra attendre la décision impériale du 17 septembre 1853 pour que la gendarmerie (y compris de Corse et d'Algérie) prenne le nom de «gendarmerie impériale» et cependant, dès le 5 avril 1853, l'emblème de l'aigle français était placé sur les poignées d'épées, les plaques de ceinturon et de baudrier, les boutons, les coulants de ferrets, les plaques de bonnet à poils et de shako, les coquilles d'épées.

CIRCULAIRE MINISTÉRIELLE DU 8 MAI 1854  

GENDARMERIE DES DÉPARTEMENTS

Reprenant les décisions du 31 janvier et 3 avril 1854, cette décision apporte quelques modifications à l'instruction du 21 août 1846.

Le pantalon de tricot blanc porté à cheval est confectionné à braguette,
pour le service à cheval on crée un pantalon demi-collant en cuir de laine bleu clair dit à la hongroise en usage dans la garde de Paris,





Décret impérial du 12 août 1854 :

Deux décrets de 1852 et 1853 avaient affecté 24 brigades à cheval au service de surveillance des forêts comprises dans le domaine de la couronne. Ces brigades seront supprimées par décret du 12 août 1854 et ses effectifs regroupés pour former un escadron de la gendarmerie à cheval pour ce service. Cette nouvelle unité fut intégrée à la Garde impériale. Elle sera désignée sous le nom de : escadron de gendarmerie à cheval de la garde impériale. Son uniforme ne sera réglementé qu'au printemps suivant. Commandé par un chef d'escadron, cet escadron est composé de 5 officiers, 11 sous-officiers, 16 brigadiers, 101 gendarmes, 2 trompettes et 2 enfants de troupe.


9 octobre 1854 au 11 septembre 1855 : siège de Sébastopol (Crimée) - (Bataille inscrite au drapeau de la gendarmerie départementale

Escadron de gendarmerie de la garde impériale

INSTRUCTION DU 2 MARS 1855

COMPOSITION DE L'HABIT :

L'uniforme de l'escadron de gendarmerie à cheval est semblable à celui porté dans la compagnie de gendarmerie de la Seine sauf les modifications suivantes :

Le collet de l'habit s'orne de deux grenades à 12 flammes (fil blanc pour les gendarmes, filé d'argent pour les brigadiers et sous-officiers, cannetille pour les officiers.
Les boutons avec l'aigle couronnée porte la légende Garde impériale et au bas Gendarmerie.

Grande tenue :

à cheval :

pantalon de tricot blanc à brayette (art 50 et suivant de l'instruction du 21 août 1846).

à pied :

pantalon bleu clair garni d'une bande bleu de roi (première apparition de la bande de pantalon en gendarmerie) (art 29 de l'instruction du 21 août 1846 et décision du 11 juin 1851).

Petite tenue à cheval :

pantalon demi-collant à la hongroise en cuir de laine bleu clair sans bande (art 16 et suivant de la description du 25 oct 1849).
Épaulette à frange : les gendarmes de cet escadron ne portent pas les trèfles, mais les épaulettes,
en laine blanche avec franges en fil retord pour les gendarmes,
en mélange de laine bleue et argent pour les gradés,
laine écarlate et d'argent pour les trompettes,
les aiguillettes identiques à celle de la gendarmerie départementale sont portées sur l'épaule droite.

Coiffures :

Bonnet à poil comme celui du régiment à pied, mais sans calot ni cordon, jugulaire formée d'anneaux de cuivre, plumet du modèle des régiments à pied de la garde impériale.
Chapeau avec ganse, soutaches et pompon comme dans les régiments à pied.
Bonnet de police en drap bleu du modèle décrit dans l'instruction du 21 août 1846.
Gants à la crispin.

Plaque de ceinturon et bouton avec l'aigle couronné et la légende « Garde impériale Gendarmerie ».
Le harnachement est identique à celui de la gendarmerie des départements, mais la housse est ornée aux coins postérieurs, d'un « N » couronné, brodé en fil blanc.
Muserolle du licol orné d'une couronne en cuivre ; sur le rond du poitrail, un écusson en cuivre avec l'aigle couronné. Grenade en cuivre à la fourche de la croupière.

ARMEMENT :

Gendarme de l'escadron à cheval de la garde impériale (1856)

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Gend_e10

Officier de l'escadron à cheval de la garde impériale (1856)

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Offici12

Maréchaux des logis à cheval :

Sabre d'infanterie légère Mle 1822, le pistolet de cavalerie.

Gendarmes et trompettes : :

mousqueton gendarmerie Mle 1854, pistolet de gendarmerie, sabre de cavalerie légère.

NOTE MINISTÉRIELLE DU 20 JANVIER 1857

Avec cette note, le ministre de la guerre arrête les modèles d'armes destinées aux officiers de gendarmerie

Le sabre d'officier de cavalerie légère Mle. 1822
L'épée d'officier supérieur de gendarmerie Mle. 1855 :
lame de 815mm, deux pans creux sur chaque face depuis le talon jusqu'au milieu de la longueur ; poignée en corne de buffle ornée d'un filigrane doré, le pommeau, la garde et la demi-coquille sont ornés ; fourreau en cuir, chape et bout en laiton ; cravate en drap rouge.

L'épée d'officier de gendarmerie Mle. 1855 :

Semblable à la précédente, mais monture en laiton doré imitant le filigrane des poignées ordinaires ; garde et pommeau en laiton doré ; aigle impérial en relief sur la demi-coquille fixe ; Fourreau en cuir, chape et bout en laiton.

Une paire de pistolets d'officiers de gendarmerie Mle. 1836 :

canon à cinq pans courts, trente-six rayures, guidon en fer ; culasse à chambre cylindrique, capucine reliée à l'écusson ; monture ronde ; platine du système dit en arrière.

INSTRUCTION DU 20 OCTOBRE 1857

Ce règlement demeure un texte important, car il est le premier à regrouper dans un seul document la tenue et les accessoires vestimentaires de toutes les subdivisions de l'arme. Il résume l'ensemble des modifications effectuées depuis l'instruction du 21 août 1846 et en apporte quelques nouvelles.

Désormais la gendarmerie porte la moustache et la mouche. La longueur de l'une et l'autre devant être maintenue dans des limites raisonnables. Les boutons portent l'empreinte d'un aigle avec la légende : Gendarmerie impériale et l'exergue : sûreté publique.


GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Bouton17

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Plaque10

GENDARMERIE DES DÉPARTEMENTS

COMPOSITION DE L'HABIT :

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Habit_10

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Basque10

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Dzotai10

Petite tenue :

habit de drap bleu de roi avec retroussis en drap écarlate fermé par neuf gros boutons d'uniforme, pattes horizontales figurant les poches,Plaque_baudrier_1854 / 1870
pantalon bleu clair en cuir de laine,
pantalon de coutil blanc (dit coutil russe) pour la tenue d'été,
pour les cavaliers : un pantalon demi-collant en drap bleu clair (dit hongroise) qui s'arrête à la cheville, ouvert dans le bas sur les côtés et se ferme par deux cordons de fil noir,
aiguillettes sur l'épaule gauche et trèfles,
chapeau identique à celui de la grande tenue.

Grande tenue :

Habit de drap bleu de roi avec retroussis en drap écarlate, collet et parements bleus, pattes horizontales figurant les poches et le plastron en drap écarlate,
pantalon de tricot blanc double,
un manteau capote et un pantalon de tricot blanc pour l'arme à cheval,
une veste en drap bleu pour les brigadiers et gendarmes à pied et à cheval,
une capote à deux rangs de boutons et à col droit pour les brigadiers et gendarme à pied,
chapeau orné d'une ganse et bordé d'un galon d'argent,
aiguillettes sur l'épaule gauche et trèfles en fil blanc,
buffleterie jaune, piquée à jonc de 5 mm,
bottes dites demi-fortes pour la cavalerie, petites bottes pour l'infanterie.

GENDARMERIE IMPÉRIALE DE 1852 À 1870  Porte_10


Un pantalon d'écurie en treillis pour les sous-officiers, brigadiers et gendarmes à cheval.
Le chapeau avec sa cocarde bleu blanc rouge est identique au précédent. Il est pourvu d'une mentonnière mobile en cuirKépy Mle 1857 verni noir et d'une coiffe noire en vernis noir pour la pluie.

Un bonnet de police à visière dit Képy en drap bleu clair et bandeau en drap bleu foncé d'une hauteur de 100mm devant et 140mm à l'arrière.
Rien de changé dans la distinction des grades, mais le système permettant d'agrafer les épaulettes des officiers est modifié.


Compagnie de la Seine

La grande et la petite tenue sont semblables à celles des départements sauf les exceptions ci-après :

Les officiers, sous-officiers, brigadiers et gendarmes à cheval de la compagnie de la Seine continus de faire usage du bonnet à poil. Il est orné d'un plumet écarlate droit pour la grande tenue (tricolore pour les chefs d'escadron, aigrette blanche pour le colonel).
Les sous-officiers, brigadiers et gendarmes à pied portent le shako.
En petite tenue les sous-officiers et brigadiers font usage d'un chapeau du modèle adopté pour la gendarmerie de la garde impériale sans sous-tache ni pompon.


CIRCULAIRE MINISTÉRIELLE DU 7 MAI 1860

Cette circulaire prescrit la transformation des mousquetons de gendarmerie en service dans les compagnies. Toutes les armes à canon lisse doivent être retournées aux manufactures de l'état qui doivent les transformer en armes rayées.

Après transformation les mousquetons modèle an IX ou 1825 prennent la dénomination de mousquetons de gendarmerie modèle an IX transformé bis ou modèle 1825 transformé bis. Les mousquetons modèle 1842 prennent le nom de mousquetons modèle 1842 transformé.


Instruction ministérielle du 15 juin 1860 :

Cette instruction, relative à la remonte des gendarmes métropolitains, précise que les montures admises en gendarmerie sont sans distinction de robe la grise exceptée.

Décision ministérielle du 21 juin 1860 :

Suite au décret impérial portant promulgation du traité relatif à la réunion de la Savoie et de l'arrondissement de Nice à la France conclu le 24 mars 1860 entre la France et la Sardaigne, cette décision porte sur l'organisation* des compagnies de gendarmerie de la Savoie, de la Haute-Savoie et des Alpes-Maritimes.

* En prévision ce ce rattachement, une décision impériale du 9 juin 1860 créait une 26e légion de gendarmerie qui fut organisée par décret du 18 juin 1860.


CIRCULAIRE MINISTÉRIELLE DU 27 MARS 1861

Ce texte apporte plusieurs modifications :

Les officiers de la gendarmerie départementale (intérieur, Corse, Afrique) et de l'escadron de gendarmerie de la garde impériale sont dotés d'une capote* pour la petite tenue du matin, avec grenade en argent au collet pour l'escadron, sans grenade pour la départementale.

Adoption d'un collet manteau en remplacement de la capote pour la gendarmerie à pied (intérieur, Afrique) ou du caban (17e légion). CePorte-manteau nouveau manteau à collet pour la métropole et comporte un capuchon pour la Corse et l'Afrique.

Comme cela existe pour l'escadron de gendarmerie de la garde impériale et pour la garde de Paris, une bande de drap bleu foncé est apposée sur la couture des pantalons bleu clair de tous les militaires de la gendarmerie départementale (Intérieur, Corse, Afrique) et de la garde impériale, quel que soit leur grade.
Suppression du pantalon en tricot blanc pour l'arme à cheval des légions de Corse et d'Afrique.
Addition d'une mentonnière en cuir verni noir au bonnet de police à visière pour l'arme à cheval.
Remplacement du portemanteau par une besace pour la gendarmerie à cheval d'Afrique.
* cette disposition sera étendue aux adjudants sous-officiers par circulaire du 18 mai 1861.


Décret impérial du 18 février 1863 :

Dans ce décret important (751 articles) portant règlement sur la solde, les revues, l'administration et la comptabilité de la gendarmerie, la haute paie journalière d'ancienneté (article 128). Désignée sous le titre de haute paie de premier, de deuxième et de troisième chevron, elle est due aux sous-officiers, brigadiers et gendarmes en activité de service. Le premier chevron est acquis à sept ans de service, le deuxième à onze ans et le troisième à quinze ans. Ces chevrons se placent sur le haut de l'épaule gauche.


Décret impérial du 13 avril 1864 :

Gendarme à pied de l'escadron d'élite

L'escadron de gendarmerie* cesse de compter dans la garde impériale, il est placé sous l'autorité du grand maréchal du palais. Il continue néanmoins de relever du ministère de la Guerre en ce qui concerne le personnel, et son administration. Il prend le titre d'escadron de gendarmerie d'élite.

* sur une décision ministérielle du 9 octobre 1863, l'escadron de gendarmerie de la garde impériale cessait à compter de ce jour d'être embrigadé pour être placé sous le commandement direct du général commandant la division de la cavalerie de la garde impériale.


Escadron de gendarmerie d'élite

L'escadron de gendarmerie d'élite conserve dans ses grandes lignes sa tenue d'origine :

Grande tenue :

Habit de drap bleu foncé avec retroussis écarlates, collet et parements bleus, pattes horizontales figurant les poches, plastron écarlate, boutons en métal argenté à l'aigle, pantalon de tricot blanc double, pantalon bleu clair avec des bandes bleu foncé (à pied), bonnet à poil avec plaque à l'aigle, plumet écarlate, épaulettes et aiguillettes en fil blanc, buffleterie jaune piquée à jonc de 5 mm, plaque de baudrier en cuivre jaune, bottes à l'écuyère dites demi-fortes.

Petite tenue :

À cheval :

Habit de drap bleu foncé avec retroussis écarlates, pattes horizontales figurant les poches, plastron en drap bleu foncé, pantalon demi-collant dit à la hongroise en cuir de laine bleu clair, manteau en drap bleu foncé, bonnet à poil.

À pied :

Pantalon bleu clair avec des bandes bleu foncé, petites bottes sous le pantalon, chapeau à cornes avec ganse et soutaches pompon écarlate.

Décision ministérielle du 2 novembre 1864 :

Les boutons d'uniforme et les plaques de ceinturon portent comme nouvelle inscription : Escadron des gendarmes d'élite au lieu des mots : Garde impériale; gendarmerie.


Gendarmerie de la Corse

Décret du 28 mars 1868 :

La 17e légion de gendarmerie* est réorganisée en deux compagnies ayant pour chef-lieu Bastia et Ajaccio. Chaque compagnie est subdivisée en deux capitaineries :  Bastia et Corte pour la première et Ajaccio et Sartène pour la deuxième.


* les deux détachements supplétifs établis à Bastia et Ajaccio ont été dissous par décret du 15 juin 1864.

Décret impérial du 20 janvier 1869 :

Le nombre de cavaliers de l'escadron de gendarmerie d'élite étant insuffisant pour assurer la protection des forêts contre les déprédations des braconniers et des maraudeurs, l'escadron est converti en un corps mixte. Dix-neuf gendarmes sont démontés pour former sept brigades à pied. Le complet de l'unité est de 110 cavaliers et 36 gendarmes à pied.


sources relevées sur le site TENUES BLEUE GENDARME de Monsieur Bernard CRANSAC et sur le TOME 4 LE MUSEE DE LA GENDARMERIE de Monsieur Eric DAGNICOURT.


Dernière édition par Eric27 le Dim 18 Juin 2023 - 15:05, édité 1 fois

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Message  tracbar21 Mar 15 Oct 2019 - 12:38

Que c'est beau tout ça, merci Eric!
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